Chirurgie
générale et autres

Biopsie-exérèse ganglionnaire

Les ganglions, relais des canaux lymphatiques, peuvent s’hypertrophier en cas d’infection ou de pathologie tumorale. Leur biopsie-exérèse est souvent nécessaire en absence de diagnostic.

Le site de prélèvement est variable et dépend de la localisation du ganglion le plus facilement accessible avec la chirurgie la moins invasive possible.

01.

Gestes superficiels

Plusieurs lésions cutanées superficielles peuvent être réséquées chirurgicalement.

C’est le cas par exemple des lipomes, kystes sébacés, maladie de Verneuil, etc.

Parfois, ces dernières sont infectées et nécessite un drainage chirurgical, voire une exérèse complète dans le même temps ou plus tard.

02.

Kyste sacro-coccygien

Affection très fréquente et bénigne dont l’origine est encore débattue (poil incarné ou embryologique), elle ne peut être traitée que chirurgicalement.

Ce traitement peut se faire en un ou deux temps, en fonction de l’existence d’un abcès ou d’une chirurgie hors crise.

03.

Pose de site implantable ou « port-a-cath »

La chambre implantable (ou port-a-cath – PAC) est fréquemment utilisée pour l’administration de chimiothérapies, mais aussi pour l’antibiothérapie au long cours, la nutrition parentérale et l’hydratation intraveineuse.

Le PAC est composée d’un boitier placé sous la peau relié par un cathéter à une grosse veine profonde.

Il peut être mise en place sous anesthésie locale ou générale.

Le risque principal est son infection par défaut d’asepsie lors des manœuvres de perfusion – déperfusions.

04.

Urgences abdominales

L’ensemble des pathologies du tube digestif peut être traité en urgence le cas échéant. Le délai de prise en charge et la rapidité d’accès au bloc opératoire conditionne la réussite de ces chirurgies.

Leurs modalités de prise en charge dépendent de l’affection dont souffre le patient ainsi que de ses antécédents.

05.
Chirurgie générale et autres